CP: punitions corporelles, bastonnades, la flagellation et la fessée
Durçissement: Les coups de CP piquent toujours mais on apprend à accepter la douleur
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John, 1m75/68kg cheveux bruns tondus #2, mince, bien bâti, pratique la musculation (barres et haltères), courses à pied régulières, pratique la lutte et la boxe quand c'est possible. En quarantième. Beau cul... |
La Pelote dans l'armée: Punition Corporelle Militaire
Gagner vos raies - Bidasses culs rougées
Historiquement, la flagellation à travers les épaules a été employée pour imposer des militaires disciplinent sur une armée peu disposé. Pendant qu'une phrase d'un Court Martial dans l'armée britannique était supprimée en 1868 par loi l'armée mais la punition corporelle de flagellation (armée 1861 des USA) a persisté non confirmé au moins dans les années 90 - trois bidasses ont censément reçu 12 courses du bouleau dans Shrewsbury en 1993 pour prendre la cocaïne sur le camp.
«Le choc pointu court» de CP de la salle de garde a les avantages que la punition est immédiate, le soldat n'a pas l'infraction écrite sur son disque et l'officier et le bureau n'ont pas besoin de savoir à son sujet ainsi les perspectives de promotion sont inchangées par une faute locale de discipline.
Les méthodes traditionnelles de correction ont également persisté pour ceux incapables de réaliser la perfection au foret. Ceci fournit un point de départ particulièrement fertile pour le CP dans des fantasmes de discipline de militaires. La soute Bunker TQB 6/47 a eu les bancs à lamelles dans la carlingue de désordre qui étaient mémorablement inconfortables aux bidasses récemment rayés...
La prise de la punition corporelle «comme un vrai homme» est également une partie du processus du durçissement: y compris la formation de circuit où une station inclut la présentation pour le CP aussi bien que des exercices de gymnastique suédoise tels que des pompes et reposer-se lève. Les raies résultantes et le rougissement peuvent être portés avec fierté.
Le rituel joue un grand rôle dans la punition corporelle: la phrase est déclarée mais a administré une certaine heure plus tard. L'anticipation de l'inconnu multiplie la crainte. Dans le contexte militaire, un uniforme particulier est exigé - les shorts kaki infâmes F1 étaient un favori, plus récemment abréviations de rugby ou tout autre sportskit des doses de CP administrées en gymnastique par l'instructeur physique de formation.
Pour des phrases administrées dans la salle de garde, l'effort additionnel a été imposé en exigeant du délinquant de présenter pour une inspection de kit avant la punition, avec la probabilité élevée que le CP additionnel serait attribué pour des défauts.
Les pantalons légers verts olives d'armée britannique (OG) sont particulièrement efficaces à augmenter la douleur du CP une fois étirés fortement à travers les fesses. Mouillant le matériel immédiatement avant des accroissements plus ultérieurs de CP l'efficacité de la punition. Ces " tours " peuvent rendre le CP reçu dans l'uniforme plus douloureux que nu reçu par CP.
Car c'ont été officieux les règlements de punitions n'existent pas tellement là est beaucoup de variation locale.
Un ancien officier écrit:
Ancien officier de la Force aérienne belge, capitaine commandant une unité d'intervention anti-commando, je mesure 1m70, pèse 70 kilos et, bien que beaucoup plus âgé que vous, je partage beaucoup de vos intérêts.
J’aime l’entraînement physique, même dur, le ramping nu dans la neige et les châtiments corporels . J’aime notamment donner et recevoir le fouet (cravache, lanière, cat o’nine tails, nerf de bœuf ou verges) sur le dos nu, attaché ou devant supporter la douleur sans bouger. L’intensité des coups étant décidée à l’avance
J’ai eu ma première expérience de flagellation à l’école des officiers de réserve où, ayant raté une interrogation, je devais rester le week-end à la caserne au lieu de jouer un important match de hockey. Je suis allé voir mon chef de peloton et lui ai expliqué la situation en lui demandant s’il ne serait pas possible, soit de postposer la punition soit de la remplacer par une autre, même un châtiment corporel. Notre chef de peloton était un superbe type, très sévère et dur, mais qui me regarda et me dit « je crois que tu es un type correct et que tu ne me ferais aucun ennui par la suite si j’acceptais de te fouetter mais es-tu certain de supporter le fouet, infligé sans pitié sur ton dos nu ? » Je lui répondis que je l’espérais mais que je demandais à ne pas être battu avant le lundi, puisque le match avait lieu le dimanche . Il accepta et le lundi soir eut lieu mon châtiment. C’était en hiver, dans les Ardennes et il faisait très froid ; il m’emmena dans une grange glaciale et me dit de me mettre torse nu tandis que , lui-même en faisait autant en m’expliquant qu’il voulait partager les conditions de la punition, le froid. Il avait un corps splendide très musclé et m’avertit que je n’allais pas rire sous ses coups, entre «3 et 5 douzaines » . Il me
proposa, soit de m’attacher à un poteau, soit de rester libre mais d’essayer de ne pas bouger sous la morsure du fouet, je choisis cette dernière solution. Je vis son fouet, à trois lanières de cuir épais au bout d’un manche d’environ 40 centimètres et frémis en l’imaginant lacérant mon dos nu.J’étais costaud et encore très bronzé des vacances précédentes, aussi c’est sans complexe que je levai les bras et offrit mon torse aux coups. Le premier coup cingla mes épaules et, d’abord, je ne sentis presque rien, puis, soudain, une douleur atroce me fit me tordre mais sans bouger ni ouvrir la bouche. La correction se poursuivit alors au rythme de 6 coups par minute, ce qui me faisait « digérer » un coup en attendant avec crainte le suivant. La première douzaine prit deux minutes et je parvins à ne pas gémir. Il me donna alors une minute de repos et un verre d’eau bienvenu en me regardant avec sympathie, curieusement, je n’avais plus froid et lui non plus, nos deux corps luisant même de sueur.
La deuxième douzaine commença, plus dure encore que la première car il frappait sans retenue et, moi, je tendais ma volonté et offrais mon dos aux lanières. Mon dos brûlait et je sentais ma peau s’écorcher mais c’était devenu un challenge pour moi de ne pas broncher ni laisser voir ma souffrance. La minute de repos qui suivit fut bienvenue et il me demanda si cela allait, je lui dis que oui et repris la pose.
Il frappa plus fort encore et moi je tendais mes muscles et offrais mes épaules aux coups déchirants, comme si c’était devenu un match entre lui et moi, lui voulant me briser et moi voulant résister à fond sans faiblir. Ces douze coups zébrèrent mon dos et mes épaules plus encore que les précédents et j’étais certain que le sang devait perler par endroits sur la peau dorée mais ma volonté me permit de ne pas montrer ma détresse. Enfin le 12e coup claqua et la pose fut bienvenue.
Il reprit le fouet et je repris la pose. Le sifflement des lanières se termina par un coup plus terrible encore que les précédents et j’eus difficile de me taire mais y arrivai. J’attendais le suivant quand je le vis jeter son fouet et me dire « c’est fini, tu as tellement bien pris ta punition que je l’arrête là. Tu as payé ta faute et je t’apprécie plus maintenant que jamais auparavant. Je te considère comme un « dur » et un gars bien, baisse les bras »
J’étais ébloui, c’était fini et je n’avais pas flanché. Je lui tendis la main avec reconnaissance en lui disant Merci mon lieutenant, pour la raclée et pour vos mots. Il la serra et me dit : Viens, allons prendre une douche au jet d’eau glacée, puis nous irons bien au chaud à la maison où je soignerai tes écorchures avec une potion atrocement brûlante mais fort
efficace.Totalement nus l’un et l’autre, nous nous sommes douchés successivement au jet puissant d’un tuyau d’au glacée et j’eus le plaisir de voir son corps magnifique se lover sous le froid puis nous sommes rentrés, toujours nus,dans son living confortable où il me fit me coucher sur le divan et étendit sur mes écorchures une pâte blanche qui me brûla si fort que je faillis crier mais retins mes gémissements alors que ses mains puissantes mais curieusement douces soignaient mon corps rompu. Il passa un slip et une robe de chambre, m’en passant une autre, en éponge bien chaude alors que je me rhabillais jusqu’à la ceinture. Nous avons alors bu une bonne bouteille de vin et avons discuté devant le feu de bois, une bonne heure sur les avantages et inconvénients des punitions corporelles et sommes tombés d’accord sur leur intérêt surtout dans le cas de gars jeunes et costauds .
Enfin je finis de me rhabiller, m’excusant de lui rendre un peignoir souillé de quelques taches de sang, ce qui le fit sourire et repartis vers la caserne où je dormis, sur le ventre, du sommeil du juste pour me réveiller le mardi matin, un peu courbatu mais heureux et en grande forme.
J’eus, par la suite quand je commandais mon unité, l’occasion, par trois fois, de donner le fouet à des hommes pour des fautes non déshonorantes mais qui, punies réglementairement, auraient nui à leur carrière future. Dans les trois cas, le châtiment sévère fut bien supporté et je suis resté en excellents termes avec ces hommes, bien après avoir quitté l’armée.
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Elle est différente étant battue dehors et la campagne contient beaucoup de matériaux qui peuvent être employés pour la punition corporelle; la noisette est abondante et les commutateurs noisette peuvent être particulièrement efficaces une fois utilisés pour le CP demandant au soumis de CP pour choisir et préparer les tiges noisette crée une liaison peu commune entre l'arme et la cible, aussi bien que prolonger l'anticipation. La cendre et le saule font également les brindilles utiles.
Plus de compétence est exigée pour faire à un bouleau efficace de l'un ou l'autre le type touffu - " bouleau d'Eton " - ou six tiges droites - " bouleau de Manx "..
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Moi et un autre soumis a commis à une hausse de CP avec un maître; il y avait rotinage à chaque montant ou porte avec le double pour traverse d'eau... Cinq courses droites et en travers comme une porte 5-bar... Chacun de nous a pris six par montant ou porte.
Le plaisir de la randonée dans la campagne dans des shorts rugby et
de bottes d'armée a été rendu intense en contrôlant
chaque ouverture panorama pour la menace d'apparence vague d'un montant ou d'une
porte. Nous avons approché le premier obstacle assez innocent mais une
fois que nos fesses avaient reçu la piqûre de la canne l'approche
à chaque obstacle suivant a causé une montée subite involontaire
d'adrénaline avant d'être instruit pour adopter la position exigée
et recevant la douleur cuisante des cannes de notre maître ayant pour
résultat les fesses profondément striées.
Pour une autre randonnée aux mêmes règles mais avec M. M et Sam Hogan: M. M a exigé de nous d'augmenter nu dans les bottes seulement et pour recevoir six courses chaque montant ou porte a croisé. Sam était également vers le haut pour que le bouleau soit administré avec lui a attaché spreadeagled entre deux arbres.
M. M avait choisi soigneusement un itinéraire sur lequel il était confiant nous serait peu susceptible de rencontrer n'importe qui autrement. Cet itinéraire soigneusement choisi a également inclus une porte et deux doubles montants (une spécialité locale) en le premier moitié-mille! Avec magnamimité, M. M a compté chaque double montant comme obstacle simple.
Les préparations et la planification de M. M's étaient méticuleuses et nous n'avons pas eu besoin de mettre les shorts maintenus à portée de la main pour des urgences. Une fois dans la forêt de pin, nous avons rapidement laissé les chemins principaux et aurions entendu d'autres avant que nous les ayons vues. M. M a en particulier apprécié la vue de son ouvrage sur deux bien-a barré les hommes nus trimardant avec lui.
Encore l'anticipation d'une porte ou d'un montant imminente était une grande partie de la session. Le SAM pensait également à son rendez-vous programmé avec le bouleau pendant que nous approchions la forêt.
«Rappelez-vous ce qui se trouve derrière vous»"
Cette page a conçu tandis qu'en prévision d'un ensemble sérieux de canings et de séance réalisée beaucoup avertis des raies résultantes. Sentiment de Nice: Je n'ai pas été caned complètement pendant des mois seveal ainsi je l'ai senti.
La crainte est un facteur important dans à quel point la mauvaise douleur se sent.
La tolérance de la douleur d'un soumis est abaissée après ejaculation.
Un keum CP écrit:
J'ai mentionné que je vois un ami pour des rotinages bien sevères que nous installons une scène pour cette semaine.
Pour ajouter une dimension différente on l'a convenu que je courrais ou aller en rond sur le vélo entrez et alors soit pris au banc de punition dépouillé et seulement quand j'avais été attaché au banc a dit ce qu'être la punition devait. Il devait être habillé dans la police uniforme pour lui faire un battement de modèle de punition judicale.
Il ne y devait être aucune autre communication et après le battement je devais s'habiller et partir. En outre je peux être fait à cum la manière de moitié et alors le battement de continuer.
Car j'ai fini travailler tard je suis venu à la maison, ai versé et ai circulé sur le vélo jaded dedans des jeans, des bottes d'armée, le t-shirt blanc et la veste de vélo.
Je suis arrivé et ai été pris à la salle de punition et dit de laisser tomber mes jeans et puis donné une douzaine avec une canne mince whippy, alors dépouillée et ai dû prendre à encore deux douzaine positions contre le mur. Jusqu'ici non dit toujours ce qu'être la punition finale devait.
J'alors ai dû me trouver sur les jambes de plancher tirées vers le haut et battues avec un tuyau en caoutchouc sur le bout et des cuisses, encore rien au sujet de la dose finale....
Enfin j'ai été porté au banc de punition, avec en ce moment aucune idée de ce que j'allais toujours prendre. Une douzaine étant administrée avant d'être attaché au banc (haut et capitonné sur le dessus)
J'avais perdu à ce jour le compte de combien j'avais déjà pris ou ai dû venir toujours - on lui avait discuté à l'avance que le total serait entre 50 -100.
J'étais maintenant sur le banc entièrement retenu et dit je devais recevoir trois ensembles de douze avec le Shambok et le rotin de Singapour. En ce moment j'ai été bâilloné avec les chaussettes en sueur de séance d'entraînement et blindfolded.
Les deux premiers ensembles où dur administré et jeûnent, mais puis le prochain coup - j'ai été dit que ce devait être le bout de cette section du battement mais pas de la fin de la punition. Vous pouvez imaginer mes pensées comme après avoir été préparé pour me prendre à la douzaine dernière a maintenant eu plus à venir ou à si je serais maintenant fait cum et la deuxième moitié du battement était toujours d'être prise.
J'ai été délié alors pris à un banc de séance d'entraînement et dit pour se trouver là-dessus, mais non dit ce que j'ai dû encore prendre. J'étais non restreint et dit si je me déplaçais il y devrait encore plus prendre.
Encore courses trois douzaines dures ont suivi, l'utilisation du chat et légèrement et les cannes et moi de Singapour a été dite de lever la robe et pour sortir, ou était ce ce que j'ai pensé. Je me suis habillé et suis sorti de la porte avant et puis ai été dit de revenir. J'ai été porté à au banc plié au-dessus et avec de mes jeans ayant l'abaissement ce qu'alors avéré pour être les 12 finals a été administré.
C'était un battement différent de la punition normale d'ensemble avec les courses connues à l'avance et j'étais forme élevée les deux crainte due à l'incertitude quant à ce qui était de venir comme faisant face à la douleur du battement réel.
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